Là où
il peut réussir :
1) Comprendre que
son gouvernement dépend d’une majorité parlementaire
2) Quelle majorité ?
théoriquement c’est une majorité absolue (109). Pratiquement, c’est une
majorité pas de moins de 2/3 (145). Concrètement c’est une majorité renforcée et
confortable de 3/5 (131).
3) Choisir ses
ministres à partir d’une liste extensive et non d’une liste limitative de
ministre proposée par les par tes partis de la majorité.
4) Définir ses
moyens et techniques d’actions prioritaires et préférentiels :
réglementaire ou législatifs !
5) Mettre en place
une parfaite communication avec sa majorité
Là où il
peut échouer :
1) Décortiquant son
gouvernement en fonction d’une majorité parlementaire sans prendre en
considération la réalité sociologo-politique des partis formant cette majorité.
Ainsi, certains partis sont une union hétérogène de différentes composantes
politiques. Ne pas évaluer leurs vrai poids parlementaire risquerai de déstabiliser
toute cette majorité, sachant que ce constat touche plus d’une composante de l’éventuelle
future majorité parlementaire.
2) Mettre à l’écart
le groupe « El Horra », ne pas satisfaire les "envies" de l'UPL et AFEK, serait un choix ouvrant une parfaite aisance
pour contester la constitutionnalité des projets de lois et d’une forte éventualité d’atteindre la majorité de 1/3 permettant d’énormes actions pouvant déstabiliser le gouvernement.
3) Un très mauvais
choix des ministres des finances, de la coopération, des TIC, de la
communication et des affaires sociales serait , non seulement fatal au
gouvernement, mais aussi pour le pays.
Pour « Chahed »,
on prie pour lui la divine et mythologique clairvoyance de Youssef.
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